l'étrange sensation de n'être qu'un oiseau,
qui se tire d'affaires,
en battant ses ailes,
je ne sais quoi faire,
si je dois m'envoler,
ou me poser,
il est question pour le moment,
d'être aimé, et d'aimer,
j'essaye chaque jour de donner.
d'offrir à ma chair et mon sang,
le toit et la sécurité,
de les nourrir, et les faire s'amuser,
je ne peux m'empêcher de me donner à fond,
comme si j'avais une peur à l'intérieur,
qui me paralyse, comme un iceberg, qui fond.
a la chaleur d'un été caniculaire,
je ne pourrais vivre sans cet air,
je ne saurais respirer sans oxygène,
la source de cet force,
c'est l'amour que je leur porte,
je culpabilise toujours pour le mal,
que j'ai pu causer à leurs doux pétales,
qui sans moi, sans mal,
ont su se créer une carapace,
sans que je n'y fasse rien,
aujourd'hui, je me saigne aux quatre veines,
pour qu'ils m'aiment autant, toujours, liés comme au premier jour.
qui se tire d'affaires,
en battant ses ailes,
je ne sais quoi faire,
si je dois m'envoler,
ou me poser,
il est question pour le moment,
d'être aimé, et d'aimer,
j'essaye chaque jour de donner.
d'offrir à ma chair et mon sang,
le toit et la sécurité,
de les nourrir, et les faire s'amuser,
je ne peux m'empêcher de me donner à fond,
comme si j'avais une peur à l'intérieur,
qui me paralyse, comme un iceberg, qui fond.
a la chaleur d'un été caniculaire,
je ne pourrais vivre sans cet air,
je ne saurais respirer sans oxygène,
la source de cet force,
c'est l'amour que je leur porte,
je culpabilise toujours pour le mal,
que j'ai pu causer à leurs doux pétales,
qui sans moi, sans mal,
ont su se créer une carapace,
sans que je n'y fasse rien,
aujourd'hui, je me saigne aux quatre veines,
pour qu'ils m'aiment autant, toujours, liés comme au premier jour.